Laurent nous a écrit une carte postale. Procès de Nuremberg Note des rédacteurs du blog : Et si la vérité n'était pas une, mais multiple ? Et si elle n'était pas un absolu à découvrir, mais un miroir qui renvoie nos propres reflets ? C'est l'interrogation qui a guidé ce texte, né de la confrontation entre les faits complexes du procès de Nuremberg et les échos d'une blessure personnelle mal cicatrisée. À travers ces deux expériences, Laurent c'est efforcé de sonder les limites de la vérité, de comprendre comment le temps, les lieux et les émotions la façonnent, et de questionner, finalement, la responsabilité qui nous incombe dans sa recherche et sa transmission. ....."En somme, le texte nous enseigne que la mémoire, qu'elle soit historique ou personnelle, la vérité n'est pas un miroir fidèle du passé. Elle est plutôt un récit en constante réécriture, influencé par les émotions, le pouvoir et les choix éthiques, ce qui la rend aussi complexe et ...
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Affichage des articles du septembre, 2025
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RICHARD nous a écrit une carte postale... Note des rédacteurs du blog: Pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois dans les zones les plus proches des pôles, le soleil ne se couche jamais. Il reste visible 24 heures sur 24. C'est le résultat de l'inclinaison de la Terre sur son axe de rotation. Durant l'été, l'un des hémisphères est incliné vers le soleil, ce qui fait que les régions polaires de cet hémisphère ne connaissent pas de nuit. C'est un phénomène fascinant, mais qui peut aussi être un peu déstabilisant. Pour ceux qui ne sont pas habitués, dormir peut devenir un défi quand il fait toujours jour ! Il nous dit très succinctement: "Au-delà du cercle polaire, pas l'ombre d'une étoile ! Le soleil ne veut pas se cacher !" Les rédacteurs du blog comprennent sa fatigue dont la carte est révélatrice, ils écrivent donc pour lui: "Je suis tellement crevé, tu n'imagines pas. C'est ça le problème avec le soleil de minuit . .. ça a ...
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Frederic Pal.°. nous a écrit une carte postale. Note des rédacteurs du blog: Ce texte est une réflexion poétique sur le Pont d’Asfeld à Briançon. L'auteur y aborde son histoire, marquée par des prouesses techniques et un surnom tragique de « Pont du Diable ». Au-delà de ces faits, il y voit une symbolique universelle du passage, de l'union et de l'espoir. Pour l'auteur, qui a grandi dans la région, le pont est une puissante métaphore qui nous invite tous à « bâtir des ponts » entre les hommes et les idées. Le Pont d’Asfeld, Briançon "Et sous ces ponts coulent le vide et nos rêves perdus, murmurant à ceux qui osent les toucher." Je tends la main vers le vide, et le vide me répond. Construit entre 1728 et 1731 par l’ingénieur Jacques de Mareschal, disciple de Vauban, le pont d’Asfeld relie la cité fortifiée de Briançon au Fort des Têtes. Long de 55 mètres et suspendu à près de 56 mètres au-dessus de la Durance, il fut salué comme une prouesse technique et un...
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Anthony nous a écrit une carte postale. Note des rédacteurs du blog : Dans la frénésie du quotidien, il est facile de se perdre, de se laisser emporter par le tourbillon des obligations et du stress. Pourtant, une sagesse simple et puissante nous invite à marquer une pause. Cet appel à ralentir, à observer et à respirer est un rappel à l'essentiel, une invitation à retrouver le moment présent et à redécouvrir la paix intérieure. "Alors je vous adresse ces mots : ralentir, observer, respirer." Mes TCF, Je vous écris comme on prend une pause, au milieu du tumulte des jours. Non pas pour raconter quelque exploit, mais pour partager un instant qui, en apparence, ne vaut rien, et qui pourtant contient le monde. Ce matin, j’ai pris le temps de m’arrêter. Rien d’exceptionnel autour de moi : une feuille que le vent faisait tournoyer comme une danseuse hésitante, une fourmi obstinée qui traînait derrière elle une charge bien plus grande que son corps, un rayon de lumière qui s’...